Condiciones sociales de vida y autorreflexividad en el movimiento de okupación

Las culturas de la ciudad, 2

MARTÍNEZ LÓPEZ, Miguel

Année de publication:
2003
Lieu de publication:
Donostia-San Sebastián
ISBN:
84-8419-878-2
ISSN:
1137-439X

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Résumé

A partir d´entrevues personnelles, de questionnaires, d´observation participante, de textes et analyses comparées à d´autres investigations qualitatives sur le mouvement de "squatterisation"dans l´état espagnol, on propose quelques réponses à des questions pour lesquelles les théories des mouvements sociaux ont en général peu de preuves empiriques. Il s´agit des origines de classe et les conditions de travail des personnes activistes dans le fait de squatter, de l´organisation de leur temps "domestique" et, surtout, de leur valorisation des expériences vécues et l´obtention de l´auto-gestion pratiquée. Cette exploration s´oppose à la représentativité statistique (que le propre mouvement élude et qui est considéré ici comme insignifiant) pour comprendre le sens politique de ce type de recherche urbaine. On peut vérifier, en définitive, les limites existantes pour obtenir l´égalité de genres, le "communalise" domestique et des relations fluides avec le voisinage où se trouvent les centres sociaux squattés et autogérés par ces groupes de jeunes.
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